Aujourd'hui l'Artsakh, et si nous ne faisons rien, demain le Syunik.
Nous étions plus d'un millier réunis le dimanche 1er octobre à Marseille, responsables associatifs, élus de tous bords, Français d'origine arménienne ou simples citoyennes indignés par la barbarie azerbaïdjanaise.
Ensemble, nous avons dénoncé l'épuration ethnique au Haut-Karabakh, et les tentatives de l'Azerbaïdjan d'y effacer toute trace de la présence arménienne plusieurs fois millénaire.
Après les paroles, il faut maintenant des actes forts pour protéger l'Arménie et ses frontières souveraines. Ce n'est qu'unis aux côtés de la République d'Arménie et de ses institutions démocratiques que nous pourrons y parvenir.
Comments